Vers l’interdiction des piscines privées ? La ville de Rennes déclare la guerre aux libertés individuelles

Vers l’interdiction des piscines privées : Rennes déclare la guerre aux libertés individuelles

Par Le Media en 4-4-2

Dans l’Hexagone, où les interdictions fleurissent plus vite que les mauvaises herbes sous un soleil complaisant, la métropole de Rennes a décrété une limite absurde à la taille des piscines privées, invoquant une prétendue préservation de l’eau face au spectre du changement climatique. Cette décision, qui restreint les nouveaux bassins à 25 mètres cubes maximum à partir de septembre, illustre parfaitement l’obsession des écologistes radicaux pour contrôler les joies simples des citoyens, alors que la France se classe au troisième rang mondial avec plus de 3,5 millions de piscines privées.

L’illusion d’une pénurie hydrique

Les vertueux gardiens de la planète brandissent l’argument d’une ressource en eau menacée par les sécheresses répétées, pourtant, les professionnels du secteur soulignent avec ironie que les piscines ne se vident pas annuellement et fonctionnent en circuit fermé, ne représentant qu’une fraction infime de la consommation totale – à peine 5 % pour l’entretien d’un bassin standard. D’ailleurs, des données objectives montrent qu’il n’y a aucune tendance à la baisse des nappes phréatiques en Ille-et-Vilaine, rendant cette mesure aussi superflue qu’un parapluie sous un ciel azur. Les fascistes verts, dans leur zèle millénariste, préfèrent ignorer ces faits pour imposer leur dogme, transformant une goutte d’eau en océan de restrictions.


L’hypocrisie des élites écologistes

Comment ne pas sourire avec amertume devant cette croisade qui frappe les particuliers tout en épargnant les véritables gouffres hydriques, comme l’agriculture intensive ou les industries polluantes ? Les élus de Rennes Métropole, premiers à prôner l’austérité pour autrui, oublient commodément que leurs propres résidences pourraient bien abriter des bassins olympiques, illustrant le sempiternel adage : « Faites ce que je dis, pas ce que je fais. » Cette interdiction, première du genre en France mais peut-être pas la dernière, n’est qu’un prétexte pour étendre leur emprise totalitaire sous couvert d’écologie punitive.


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Vers une société de privations infinies

Si l’on cède à cette logique délétère, demain ce seront les barbecues, les voitures ou les voyages aériens qui passeront sous les fourches caudines des ayatollahs verts, au nom d’un climat dont les variations naturelles échappent à leur rhétorique alarmiste. En interdisant aux Français le luxe modeste d’une piscine familiale – un marché florissant qui place notre nation derrière les États-Unis et le Brésil – ces idéologues ne protègent pas la planète, mais érodent insidieusement les libertés individuelles.

Par Yoann

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